Le secrétaire général du Parti des Verts marocain, Mohammed Fares, a été élu président des Partis Verts d’Afrique, à l’issue d’un congrès électif de la Fédération des Verts Africains (FeVA), tenu du 23 au 26 mai à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo (RDC).
Tenu en mode hybride, ce Congrès a réuni, outre le Parti des Verts marocain, des formations politiques du Burkina Faso, du Burundi, du Congo Brazzaville, de la République Démocratique du Congo, du Tchad, du Kenya, de Madagascar, du Niger, du Cameroun, de la Somalie, du Zimbabwe, du Rwanda, de l’Ouganda, du Sénégal et de Côte d’Ivoire.
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Organisé par l’Alliance des Écologistes Congolais (AECO-LES VERTS), sous le thème « Ancrage de l’écologie politique en Afrique : Enjeux, Défis et Perspectives », cet événement a été l’occasion de réviser la charte de l’organisation et d’élire son nouveau bureau exécutif.
Dans ce cadre, les participants ont abordé les défis actuels liés à l’ancrage de l’écologie politique en Afrique, en discutant des enjeux écologiques, les perspectives d’avenir et les défis à relever.
Ils ont également mis en avant l’importance du Bassin du Congo dans la préservation de l’humanité et la stabilité climatique, tout en soulignant la nécessité de défendre les intérêts de l’Afrique dans la protection de l’environnement.
Outre la participation des présidents des partis politiques écologistes africains, des organisations et structures militantes pour la protection de l’environnement ont été également présentes à Kinshasa au même titre que des observateurs du Global Great et du Green Forum.
Lancée officiellement lancée en 2010 à Kampala, la Fédération des Verts d’Afrique fait partie des Verts mondiaux et compte des membres dans les cinq régions d’Afrique. La FeVA, dont le prochain congrès se teindra au Maroc, s’est développée ces dernières années avec l’adhésion de nouveaux partis de plusieurs pays africains.
