Nigeria: Le Sommet d’investissement pour le Sport en Afrique reporté au 1er trimestre de 2025

Le Sommet d’investissement pour le Sport en Afrique (SAIS), prévu en novembre 2024, a été reporté au premier semestre de 2025, ont annoncé mardi les organisateurs.

Cette décision vise à garantir une organisation optimale et à aligner stratégiquement le Sommet sur la vision renouvelée du développement sportif au Nigéria et en Afrique, expliquent les organisateurs dans un communiqué.

Le sommet est organisé en collaboration avec National Sports Commission (NSC), une agence d’intervention à responsabilité limitée dirigée par le secteur privé pour aider au développement de l’industrie du sport.

Les organisateurs prévoient d’annoncer la nouvelle date exacte dans les prochaines semaines, tout en s’engageant à collaborer avec les parties prenantes pour affiner l’ordre du jour et offrir un événement de classe mondiale, précise le communiqué.

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« Cette décision reflète un engagement commun à organiser un événement de classe mondiale qui maximise la participation du secteur public, encourage les collaborations stratégiques et présente les vastes opportunités d’investissement dans le sport en Afrique », ajoute-t-on de même source.

Ce report s’inscrit dans le cadre des efforts d’intégration en cours de la NSC, co-hôte de l’événement, après la dissolution du ministère des Sports et la transition organisationnelle du secteur. Cette période supplémentaire permettra d’assurer une mobilisation stratégique des ressources et de renforcer la participation des secteurs public et privé, explique-t-on.

Le SAIS est un rassemblement annuel porté par la vision de Sport Nigeria de créer une plate-forme continentale pour exploiter les stratégies et les initiatives pour un écosystème sportif durable afin de développer tous les niveaux d’infrastructures sportives grâce à des partenariats et des investissements.

Le sommet de cette année prévoit des discussions et des occasions de réseautage percutantes, ouvrant la voie à l’avenir du sport en Afrique comme moteur économique et contributeur à l’Agenda 2063 : « Le futur que nous voulons pour l’Afrique », selon le communiqué.