Angeline Ndayishimiye, première dame du Burundi, incarne un modèle de leadership et d’engagement en faveur des droits des femmes et des filles en Afrique. Depuis son arrivée au pouvoir aux côtés de son mari, le président Évariste Ndayishimiye, elle s’est imposée comme une figure incontournable dans la lutte pour l’autonomisation des femmes et l’amélioration de la vie des jeunes filles. Sa vision est claire : garantir à chaque fille un accès à une éducation de qualité, et offrir aux femmes les moyens de prendre soin de leur santé, dans un contexte où ces droits sont souvent relégués au second plan.
A l’occasion de la journée internationale des femmes, Angeline Ndayishimiye se distingue par son engagement en tant qu’ambassadrice de l’éducation des filles. Elle a pris une initiative marquante avec l’organisation du Forum National sur l’Éducation des Filles et des Femmes. L’éducation est pour la première dame une clé essentielle pour l’émancipation des femmes et le développement du pays, et elle n’a de cesse de mettre ce combat au cœur de ses priorités.
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Dans le cadre de sa campagne « Afrique éduque ses filles », elle œuvre pour renforcer les initiatives visant à garantir à chaque jeune fille une éducation gratuite, de qualité et sans discrimination. Ce programme s’inscrit dans une vision continentale de transformation des sociétés africaines, pour que les filles puissent prendre leur destin en main, en brisant les chaînes de l’analphabétisme et de l’inégalité.
En parallèle, Angeline Ndayishimiye a déployé plusieurs programmes de santé infantile et de prévention du cancer chez les femmes, des domaines dans lesquels le Burundi, comme de nombreux autres pays africains, fait face à de nombreux défis.
